L'Olympique Lyonnais

Olympique Lyonnais

Fondé en 1950
Professionnel depuis 1950
Surnoms: Les Gones, l'OL

Palmarès:
Champion de France: 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008
Champion de France de Ligue2: 1951, 1954, 1989
Vainqueur Trophée des Champions: 1973, 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007
Vainqueur Coupe de France: 1964, 1967, 1973, 2008
Vainqueur Coupe de la Ligue: 2001
Vainqueur Coupe Intertoto: 1997

Stade de Gerland (41 044 places)
Inauguré en 1926, forme actuelle depuis 1998


Président: Jean Michel Aulas (Depuis 1987)
Entraîneur: Claude Puel (Depuis 2008)

En Ligue1 depuis 1989

La saison dernière:
Ligue1: 1er avec 79points
Coupe de France: Vainqueur face à Paris (L1) 1-0 (AP)
Coupe de la Ligue: Battu par Le Mans (L1) en 1/4 de finale 0-1
Ligue des Champions: Battu par Manchester United (ANG) en 8eme de finale 1-2 (1-1, 0-1)

Santos attendu vendredi

Ce n'est pas la nouvelle du siècle mais elle a fait revenir mardi après-midi certains des dirigeants lyonnais, tous actuellement en vacances, au siège du club. Fabio Santos qui, mécontent de son sort depuis le début de la saison, a séché la reprise de l'entraînement prévue lundi, a donné de ses nouvelles à Marino Faccioli, à travers son agent Marcelo. Le Brésilien est attendu vendredi à Lyon en provenance du Brésil. Le directeur général de l'OL en charge du sportif est venu l'apprendre à Claude Puel, à la sortie de l'entraînement.

Reste à savoir si Fabio Santos sera convié au stage de Dinard, où l'effectif lyonnais doit se rendre à partir justement de vendredi matin pour notamment disputer (à Guingamp) son 32e de Coupe de France contre Concarneau. Son avion atterrira trop tard pour attraper celui à destination de la Bretagne. Rejoindra-t-il rapidement ses coéquipiers ou sera-t-il appelé à refaire ses gammes tout seul à Lyon pendant quelques jours ? Tout dépendra peut-être de ses explications sur son retard.

Juninho et «l'ambiance détestable»

Juninho est «proche de la sortie»

Arrivé à Lyon durant l'été 2001, Juninho a depuis participé à tous les succès de l'Olympique lyonnais. Seulement voilà, âgé aujourd'hui de 34 ans, le Brésilien est conscient que la fin de cette belle aventure est «proche». «Je sais que je suis proche de la sortie, a-t-il réaffirmé mardi dans Le Progrès. Je sens le moment de préparer l'avenir avec ma famille.» Aussi, même s'il est sous contrat avec l'OL jusqu'en 2010, le joueur au sept titres de champion «n'ose pas demander une prolongation». «J'ai mes idées et je ne veux pas les divulguer. Mais le club les connaît et j'espère qu'il m'aura bien compris», a-t-il expliqué.

«Il faut se préparer dans la tête en sachant que tout cela sera bientôt terminé», a-t-il ajouté, avant d'évoquer l'un de ses derniers défis : atteindre la barre des cent buts marqués sous le maillot lyonnais. «Quand je vois l'hommage rendu à Steven Gerrard après son 100e but avec Liverpool, je me dis que c'est un objectif sympa», a confié celui qui totalise à l'heure actuelle 94 réalisations, dont 40 sur coup francs. «Cette saison, je joue moins mais les résultats sont là, a-t-il conlu. Si cela dure, cette formule me va bien». Car elle lui permet en effet de «préparer mentalement» sa fin de carrière, «pour bien la négocier».

LYON / HUGO LLORIS :« ON N'AIME PAS LES GAGNANTS »



Hugo Lloris, qui espère jouer son premier match de l'année contre Lorient, évoque la préparation lyonnaise malgré les conditions climatiques et revient sur la polémique du match reporté contre Concarneau. Pour lui, l'OL dérange par sa culture de la gagne.

Hugo Lloris, comment vivez-vous la reprise après un match annulé, un stage écourté et des conditions difficiles pour jouer au football ?
Les conditions ne sont pas faciles partout. Il faut s'adapter et prendre son mal en patience. Il ne faut pas faire les choses à moitié et préparer sérieusement les matchs à venir.

Ces conditions climatiques pourraient remettre en cause le match de Lorient, samedi. Comment se préparer quand on ne sait pas si on jouera ?
Nous sommes des sportifs de haut niveau. On se doit de bien travailler pour nous et pour notre collectif. Concarneau est une chose. Lorient se présente à nous maintenant. Nous espérons que le match aura lieu.

Que vous inspire cette polémique autour du match reporté à Concarneau ?
Peu de choses à vrai dire, si ce n'est que l'arbitre a pris la décision qui semblait la plus sage.

Au sujet de cette polémique, qui sous-entend que l'OL aurait influencé le report du match, Juninho a évoqué un manque de reconnaissance du club. Est-ce aussi votre sentiment ?
Je ne sais pas. Mais une chose est sûre : en France, on n'aime pas les gagnants, du moins sur le long terme. Ce n'est pas nouveau. Je n'ai pas attendu d'être à Lyon pour le savoir. Cette histoire nous passe au-dessus de la tête. Nous sommes des compétiteurs. Dès que nous entrons sur un terrain, c'est pour donner le maximum. Ce qui se passe autour, c'est secondaire.

« Un exploit en Coupe d'Europe pourrait changer la donne »

Depuis votre arrivée à l'OL en début de saison, ressentez-vous ce statut de club mal aimé en France ?
Non, je ne me pose pas cette question. J'ai d'autres préoccupations que de savoir si nous sommes aimés ou pas. Notre but est de gagner des trophées. Chacun ses goûts. Peut être qu'un exploit en Coupe d'Europe pourrait changer la donne.

Avez-vous été surpris de l'animosité des supporters de Concarneau à la sortie du stade ?
Oui, un peu étonné mais compréhensif parce que des gens se sont déplacés partout en Bretagne pour supporter leur équipe. Ils voulaient que le match ait lieu et assister à une fête. Au lieu de ça, tout a été annulé. Une équipe comme Concarneau aurait sans doute eu plus de chances sur un terrain gelé. Je comprends que les supporters ne soient pas contents mais à un moment, il faut savoir aussi respecter les joueurs et penser à leur sécurité.

Aborder Lorient sans ce match de Coupe dans les jambes, cela change la donne ?
Non, nous compensons. Hier (ndlr : mardi), nous avons fait une opposition à l'entraînement pour combler ce manque de compétition. Cela fait du bien de retrouver des sensations et des automatismes. Tout le monde est dans le même embarras. On s'entraîne tous dans les mêmes conditions.

Barcelone a encore impressionné face à l'Atletico Madrid, mardi en Coupe du Roy. Que vous inspire la réussite du Barça que vous affronterez dans plus d'un mois en huitièmes de finale de la Ligue des Champions ?
On n'y est pas encore. C'est une grande équipe mais on ne se focalise pas encore sur la Ligue des Champions. On se préparera dans quelques semaines. Messi ? Le Barça ne se résume pas à un joueur. C'est un collectif dont ressortent beaucoup d'individualités. Sur deux matchs, tout est possible. Le tout est d'y croire et de mettre le maximum d'atouts de notre côté pour être à notre meilleur niveau.

de Foot365

Govou : «On est moyen partout»

Sidney Govou, qui a repris l'entraînement lundi après une semaine passée où il a été perturbé par ses adducteurs, n'a pas pour habitude de se taire quand il a quelque chose à dire. Dans France Football à paraître mardi, l'attaquant lyonnais a évoqué l'ambiance qui règnait dans le vestiaire de l'OL. Et autant dire qu'il n'y est pas allé par quatre chemins. «Une unité dans le vestiaire, ça ne s'invente pas. Soit elle existe, soit elle n'existe pas. Chez nous, elle n'existe pas», a-t-il constaté, froidement.

Des mots qui sont revenus aux oreilles de son président Jean-Michel Aulas. Lequel n'a pas tardé à réagir, à sa manière. «C'est déjà formidable d'avoir ces résultats quand on a une somme d'individualités. Cela permet, le jour où le collectif va s'améliorer, d'espérer des performances importantes. Sidney est un leader dans l'âme. On a besoin de sa qualité de leader pour que le collectif soit plus fort. Cette année, on surprendra encore ceux qui n'avaient pas confiance en début de saison.»

Le joueur, formé au club et sacré sept fois champion de France, est aussi revenu sur le niveau de jeu de l'équipe version 2008-2009. «On a moins d'impact physique sur l'adversaire. Et on est aussi moins dominateurs dans le jeu. Disons qu'on est moyen partout. Par rapport à ce qu'on a pu faire dans le passé, c'est clair qu'on joue un peu moins bien, a-t-il lancé. Pourquoi, je ne sais pas.» Les nombreuses critiques formulées à l'égard de Lyon sont-elles pour autant justifiées ? «On dirait que taper sur la tête de l'OL est devenu quelque chose de normal. Or, ce n'est pas parce qu'on est premier qu'on doit tout accepter. Dès qu'un truc tourne en notre faveur, les gens disent qu'on est avantagé. A la longue, ça devient chiant.» Ça a au moins le mérite d'être clair. Son avenir en revanche l'est un peu moins. Partira cet hiver ? Ou partira pas ? La réponse est cinglante : «Le jour où il se passera vraiment quelque chose, c'est moi qui parlerai».

C'est la govou attitude ici en ce moment

Govou, saison terminée

Govou «n'est pas abattu»

Le Progrès, le quotidien de Lyon, a fait les comptes, jeudi. Sidney Govou, victime d'une rupture totale du tendon d'Achille droit mercredi après-midi à l'entraînement, sera le quatrième joueur lyonnais à être opéré de cette blessure, après Serge Bex, Jean-Christophe Devaux et Florian Maurice. Le tout en vingt-cinq ans. Comme ses prédécesseurs au club, l'attaquant international sera opéré par le professeur Bernard Moyen, en principe dès vendredi. «C'est une blessure rare, explique le spécialiste au journal. En football, on voit davantage des croisés ou des problèmes aux chevilles. Elle touche le plus gros tendon de l'organisme, il mesure une quinzaine de centimètres, et l'intervention va constituer à le suturer. Il ne faut pas attendre trop longtemps. Ce n'est pas comme pour des ligaments croisés.»

Le joueur a vu le chirurgien juste après sa blessure, mercredi soir. Il restera trois jours à l'hôpital Lyon Sud et sera immobilisé six semaines. «On le retrouvera sur un terrain lors de la reprise en juillet prochain. Mais je ne l'ai pas trouvé abattu pour autant. Je le connais bien. C'est un garçon placide. Il accepte cela avec lucidité et clairevoyance et va tout faire pour revenir dans six mois.» Florian Maurice, victime de la même blessure en septembre 1996 (elle l'avait privé du Mondial 98 ) témoigne également dans Le Progrès : «J'ai mis sept mois avant de pouvoir rejouer. Mais finalement, cela se soigne très bien. Je n'ai pour ma part jamais eu de séquelles depuis du fait de cette opération. Je ne suis pas particulièrement inquiet pour Sidney, ajoute l'ancien buteur de l'OL. Le professeur Moyen, qui m'avait opéré, sait ce qu'il fait.»

Raph21 a écrit:

C'est la govou attitude ici en ce moment

désolé, je persiste

ça n'arete pas avec le Govou :sleep:

Je pense que ce week-en tout le monde a clairement compris que Fred à Lyon, c'est terminé ! Il n'est pas blessé et il n'est pas dans l'équipe pour le déplacement à Grnoble.

Puel ne compte plus sur lui
C'est une petite page de l'histoire Lyonnaise de ces dernières années qui se tourne en quelque sorte

Très petite page, car Fred, malgré qu'il est exelent n'a jamais su vraiment s'imposé dans cette équipe Lyonnaise. C'est vraiment dommage ... pour Lyon !

RICARDO OLIVEIRA DANS LE VISEUR

Ricardo Oliveira, l’attaquant international brésilien du Real Saragosse, figurerait toujours dans les petits papiers de l’Olympique Lyonnais. Les Rhodaniens veulent du lourd pour compenser le départ annoncé de Fred.

Alors que Fred cherche toujours une porte de sortie (*), l’Olympique Lyonnais poursuit ses recherches pour renforcer sa ligne d’attaque.
Les noms de Steve Savidan, Keirrison et Guilherme ont déjà été évoqués. Mais les décideurs rhodaniens auraient également d’autres pistes sous le coude. Les septuples champions de France songeraient notamment à Ricardo Oliveira (28 ans), l’avant-centre du Real Saragosse. L’été dernier, les Lyonnais s’étaient déjà positionnés pour le récupérer mais l’international brésilien avait fini par prolonger son contrat jusqu’en juin 2013 avec le club espagnol. Mais depuis, l’Olympique Lyonnais, via Bernard Lacombe, n’aurait jamais cessé de le superviser.

Auteur de huit buts cette saison en championnat, Ricardo Oliveira « fait le boulot mais sans plus », glisse un journaliste espagnol. Toujours suivi par certaines grosses formations européennes, Ricardo Oliveira ne serait pas contre un départ précipité. Loin de la Deuxième Division espagnole. « Lyon ? C’est une possibilité, nous explique un proche du dossier. Le joueur n’a jamais caché son intérêt pour un club tel que l’Olympique Lyonnais mais le dossier n’est pas simple. Saragosse compte vraiment sur lui. En décembre, Manchester City et le Real Madrid s’y sont déjà cassés les dents. Aujourd’hui, la donne a légèrement évolué. Mais il faudra mettre aux alentours de quinze millions d’Euros au minimum pour que l’opération puisse voir le jour. Et d’autres clubs peuvent aussi s’inviter au bal des prétendants (ndlr : le FC Séville serait toujours intéressé par son profil. »

A Saragosse depuis mardi (et jusqu’à samedi), l’agent du joueur aurait entamé des discussions avec les dirigeants ibériques. Mais
l’Olympique Lyonnais est prévenu : pour attirer un joueur de ce calibre, il va falloir casser sa tirelire. En cas d’échec des négociations, les Rhodaniens garderaient également un œil sur Guilherme (20 ans, Cruzeiro). Mais une surprise de dernière minute ne serait aussi pas à exclure. Certaines sources évoquent encore la possibilité de voir débarquer « du très très lourd » du côté de Gerland. A suivre.

de foot365

Si ça fait comme Everton ou Sousa à Paris l'an dernier, ça promet

Je ne le connais même pas, Lyon veut devenir un grad club, ils ont des ambitions, mais quand on voit ce qu'ils veulent recruté, et en plus 28 ans c'est déjà beaucoup :|

Lloris : «Les sentiments de côté»

Sept mois après son départ de Nice, où il est resté onze ans et n'y a gardé « que des bons souvenirs », Hugo Lloris revient au stade du Ray, dimanche avec l'OL (23e journée de L1). Forcément un match à part et un moment particulier pour le gardien lyonnais. « Ce sera avant tout du plaisir, souligne-t-il. Celui de retrouver mon ancien stade, mes anciens supporters, mes anciens coéquipiers. Mes amis et la famille seront en tribune. Je connais beaucoup de monde au club envers lequel je suis reconnaissant. J'ai gardé contact avec certains membres du vestiaire. C'est toujours un plaisir de les avoir au téléphone. Si ça va chambrer avant ? Non, ce n'est pas vraiment mon genre ! »

Du haut de ses 22 ans, Lloris essaie de ne pas trop angoisser à l'idée de ce retour et de ces retrouvailles. « Il va falloir mettre les sentiments de côté. Il faudra surtout être concentré et lucide. A moi de le transformer en match normal. » Cela risque de ne pas être facile, d'autant que le gardien lyonnais porte un regard toujours aussi admiratif et respectueux sur son ancien club. « Je n'avais aucune inquiétude sur le fait qu'il allait rebondir malgré le départ de quelques joueurs à l'intersaison. Les plus anciens comme Echouafni ou Hognon sont restés. Le recrutement, comme d'habitude, a été judicieux et malin. Il a sa place en haut du classement. »

Avant Nice, il y aura jeudi la liste de l'équipe de France pour le match contre l'Argentine du 11 février. S'il espère y figurer, Lloris refuse de miser, au vu de son début d'année, sur une éventuelle place de titulaire. « C'est une grande fierté et un privilège d'être appelé chez les Bleus. Après, les choix appartiennent au sélectionneur et on se doit de les respecter. En aucun cas, je ne revendiquerai quoi que ce soit ou je ne parlerai à ce sujet. »

Réveillère retouche le ballon

Source : L'Equipe

Via un communiqué sur son site officiel, l'Olympique Lyonnais a annoncé avoir pris la décision de résilier le contrat de Fred. Le départ du Brésilien - qui devrait ainsi s'engager en faveur de Fluminense - est effectif dès jeudi soir.
Communiqué de l'Olympique Lyonnais

L'Olympique Lyonnais informe que Fred a pris la décision de résilier son contrat alors qu'il séjournait au Brésil pendant sa mise à pied. La résiliation de son contrat avec l'Olympique Lyonnais prend effet ce soir (Ndlr : jeudi) et va lui permettre de s'engager avec un club brésilien.

foot365

Il a bien fait car il devait partir et puis non , il jou plus du tout a Lyon sa va lui faire du bien.

Depuis kle temps qu'il aurait du partir, cela nous aurait évité tous les feuilletons le concernant ...

C'est la fin d'un cycle a Lyon après 7 ans c'est déja pas mal. Mais moi je persiste à croire que Puel n'est pas une bonne entraineur pour Lyon. Il a voulu entrainer Lyon comme il avait entrainé Lille. C'est un peu comme Hantz quand il est venu a sochaux ça n'a jamais fonctionné. A mon avis Aulas va passer à l'action dans les prochaines semaines pour trouver un nouvel entraineur.